lait le Coucou et que la pioche des démolisseurs a fait disparaître depuis.
Encore un coin du vieux Paris…, etc.
Pourquoi Georges Caron se taisait-il à ce moment, et depuis quelques moments, et quelques moments ensuite ?
Quoi qu’il en soit, ce mutisme nous anormalisa tant et tant, que, d’une clameur commune, nous dîmes :
— Tiens ! Caron n’est donc pas là !
Au même instant — saura-t-on jamais pourquoi ? — le sépulcral Ducreux se mit à jacasser, jacasser : telle une nichée de jeunes pies borgnes.
L’abus des boissons fermentées ? ou si c’était quelque autre surexcitation cérébrale ?
Quoi qu’il en soit, cette bruyance nous anormalisa tant et tant, que d’une clameur commune nous dîmes :
— Tiens ! Ducreux n’est donc pas là ?
(Comme je vous ai averti plus haut, c’est une histoire d’été.)