honnêtes gens de tous les partis, scène dont j’ai parlé plus haut.
Bon hôtel, l’hôtel de Bretagne. Bonne nourriture, bon service, sous la surveillance d’une jeune fille charmante (la fille de la maison, je crois).
Maintenant, je suis à Granville d’où je vous écris ces lignes.
J’y ai fait la connaissance d’un garçon bien gentil dont j’avais entendu parler à Paris, un nommé Willette qui fait des dessins dans les journaux. Je lui ai donné quelques conseils dont il profitera, j’espère.
Lui, de son côté, s’est engagé à m’illustrer quelques chroniques que je vais faire paraître en volume à la fin de l’année pour les étrennes.
Le mot de la fin de cet article sera donc, excusez-le pour une fois, une annonce en librairie.
LES CHRONIQUES DU BON SENS
par Francisque Sarcey
dessins de Willette.
Et ça s’enlèvera comme du pain !