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comme au temps où il allait à la boudequèvre.
Tout grelottant, il aborda la chaloupe.
Nous lui passâmes une gourde de rhum qu’il but goulûment jusqu’au bout.
— Bonsoir Grapinel.
Il nous remercia et reprit la direction de la falaise.
De quelques coups d’aviron, nous le perdîmes de vue.
Le lendemain, on retrouva son cadavre à mer basse, tout envasé, un bouquet de roses mousseuses à la main.