Page:Allais - À l’œil.djvu/186

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ment gorgés de hure aux pistaches, me huèrent férocement.

Comme je devais avoir l’air bête !

Mais ma confusion ne connut plus de bornes quand j’aperçus, sur la porte de sa boutique, ma belle charcutière elle-même riant de toute la nacre de ses dents superbes.

Dieu, qu’elle s’amusait !

Je ne suis jamais revenu dans ce quartier-là.