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tement, s’assit à la table d’Ovide et de Marie.
Il déploya, pour plaire à cette dernière (ah ! comme ce nom lui va bien : la dernière des dernières !), des trésors de grâce, d’esprit et de générosité.
Il était jeune, beau et riche.
Marie n’hésita pas à plaquer son compatriote.
Le soir même, le nouveau couple s’embarquait à bord du bateau de Southampton.
Esseulé, mélancolique, Durarluyr se promenait sur la jetée.
Un clair de lune splendide !
Un steam-boat superbe qui sort du port.
Du steam-boat, une voix forte vient qui crie, avec un accent fortement anglo-sardonique :
— Ohé ! Durarluyr ! Ohé !… Je suis enchanté d’avoir fait votre connaissance !