Page:Allais - Le Boomerang.djvu/43

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CHAPITRE TROISIÈME.Lequel n’est, pour la plus grande partie, que simple hors-d’œuvre, offrant avec l’action même du roman la plus lointaine des connexités, mais que, tout de même, le lecteur, j’en suis convaincu, me saura gré d’avoir… comment dirais-je bien ?… c’est cela !… d’avoir intercalé.


À juste titre baptisé par son auteur Féerie néo-contemporaine, la pièce dont on donnait ce soir-là la première représentation aux Folles-Ivresses avait attiré ce qu’on est justement convenu d’appeler le Tout-Paris dans la coquette bonbonnière de l’impasse Eugène Lintilhac.

Ce titre : Le Pauvre Bougre et le Bon Génie, la notoriété de l’auteur, dont c’était en quelque sorte le début au théâtre[1],

  1. Quel chemin parcouru, depuis !