Page:Allais - Le Parapluie de l’escouade.djvu/136

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semblait être du dernier bien avec une manière de tzar tout vêtu de blanc.

Que vendait-on dans cette baraque ? Je l’ignore encore, mais c’était une belle baraque, solidement établie et d’aspect cossu.

Une ligne de points pour abréger.

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Tout à coup, au beau milieu d’une histoire un peu risquée de Gidel, je vis Henri… (c’est le duc d’Aumale que j’appelle ainsi. Dame ! nous ne nous connaissons pas d’hier !)

Je vis Henri, dis-je, dont la face était devenue toute blanche et dont s’écarquillaient les yeux.

— Quoi ? fis-je, inquiet. Qu’y a-t-il ?

Et Henri, blême, le bras tendu, balbutiait :

— La baraque russe ! La baraque russe !