Page:Allais - Le Parapluie de l’escouade.djvu/210

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Alors c’est comme s’il n’y avait pas eu d’entrées.

À la fin, à force de tourner autour du château, nous découvrîmes un petit mur que nous pûmes escalader.

— Maintenant, fit Schwartzbacher, cherchons la cuisine.

Probablement qu’il n’y avait pas de cuisine dans l’immeuble, car aucune odeur de fricot ne vint chatouiller nos narines.

Nous nous promenions par des couloirs interminables et enchevêtrés.

Parfois, une chauve-souris voletait et frôlait nos visages de sa sale peluche.

Au détour d’un corridor, les chants que nous avions entendus vinrent frapper nos oreilles, arrivant de tout près.

Nous étions dans une grande pièce qui devait communiquer avec la chapelle.