Page:Allais - Le Parapluie de l’escouade.djvu/231

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On le rencontre partout.

La vocation du théâtre ne lui vint que plus tard et dans des conditions assez particulières pour être contées ici.

Fort ennuyé par une affaire de chantage, sur laquelle nous aurons le bon goût de ne pas insister, M. Francisque Sarcey cherchait de l’argent coûte que coûte.

Un archéologue de Montmartre, décédé depuis, qu’on appelait familièrement Peau-de-Lapin, mit en rapport MM. Francisque Sarcey et Léon Gandillot.

Ce dernier, apitoyé par les sanglots du critique, avança la somme qui s’élevait, si nous avons bonne mémoire, à pas loin de trente mille francs, contre lesquels M. Sarcey livra cent et quelques mille francs de billets.

Hélas ! les billets restèrent impayés !