Page:Alzog - Histoire universelle de l’Église, tome 1.djvu/48

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sciences humaines, et les barrières qui séparent les diverses facultés tomberont quand on aura reconnu l’âme et la vie qui les unit toutes. Il est déplorable que ceux-là mêmes dont elle doit illuminer l’intelligence, et dont la science n’est rien sans elle, les théologiens, la méconnaissent encore, et n’en tirent, quand la nécessité les presse, que ce qu’une étude sans amour et sans zèle en peut obtenir. »