Page:Amiel - Jour à jour, 1880.djvu/29

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Où le jour naissant n’était que promesse,
Où le jour fini n’était que bonheur !

C’était un baiser jadis que l’aurore,
Baiser sur mes yeux qui dormaient si bien,
Tandis qu’à présent, l’aube qui se dore
Est un coup de fouet au galérien.