Page:Anatole France - L’Anneau d’améthyste.djvu/286

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raient au bord des seins. Ses joues étaient roses de fard, ses lèvres peintes. Mais le visage restait jeune de désir et de santé. Et les plis du cou, qui auraient trahi la fatigue des années, se perdaient dans la splendeur de la chair.

Le jeune Bonmont la regarda un moment avec une certaine attention, puis il dit :

— Dis donc, maman, si toi aussi tu allais voir Loyer, pour lui recommander l’abbé Guitrel ?…