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Page:Anatole France - Le Crime de Sylvestre Bonnard, 1896.djvu/324

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Jeanne monte lestement l’escalier, m’embrasse et murmure à mon oreille quelques mots que je devine plutôt que je ne les entends. Et je lui réponds : — Dieu vous bénisse, Jeanne, vous et votre mari, dans votre postérité la plus reculée. Et nunc dimittis servum tuum, Domine.


FIN