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Page:Anatole France - Le Mannequin d’osier.djvu/172

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d’autres offraient un ensemble plus satisfaisant, sans toutefois qu’aucun visât à la recherche d’une ressemblance individuelle ni à l’art difficile du portrait. Et tous suppléaient à l’insuffisance du dessin par la légende explicative. Et sur toutes ces représentations populaires M. Bergeret portait des cornes. Il observa que tantôt les cornes sortaient du crâne nu, tantôt d’un chapeau de haute forme.

« Deux écoles ! pensa-t-il. »

Mais il souffrait dans sa délicatesse.