Tu t’en venais ainsi, par ces matins si doux, |
Ces vers sont voisins de la jeunesse du poète. Mais on en trouve l’écho pur et clair dans un poème tout récent, l’Illusion suprême.
Ô chère vision, toi qui répands encore, |
Tu t’en venais ainsi, par ces matins si doux, |
Ces vers sont voisins de la jeunesse du poète. Mais on en trouve l’écho pur et clair dans un poème tout récent, l’Illusion suprême.
Ô chère vision, toi qui répands encore, |