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gérées, fausses, ridicules et bizarres, pour qu’on ose en placer l’auteur au nombre des écrivains de mérite qui doivent compter… Souvent il m’a fait penser à ce vers sur quelqu’un qui reçut du ciel en intelligence :
Trop pour l’obscurité, pas assez pour la gloire.
Il est bien entendu que d’Arlincourt fit aussi sa tragédie, et que c’est à celle-là surtout que le public se donna des joies ! Il y eut des éclats de rire qu’aucune comédie de notre temps n’a jamais su provoquer.
Cela s’appelait le Siége de Paris !
Un des personnages disait ce vers :
J’habite à la montagne, et j’aime à la vallée.
On répétait : À l’avaler.
Un peu plus loin celui-ci :
Mon vieux père, en ce lieu, seul à manger m’apporte.
On redisait : Seul a mangé ma porte.
— Ces gens-là ont de bonnes dents ! s’écria un plaisant du parterre.