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t-il alors avec Pascal ; et il aimera la maladie pour l’avoir ramené à la méditation clairvoyante. Ce « mépris soudain et cette intelligence brusque de lui-même » qui lui vinrent comme une révélation en 1876, n’est-ce pas l’état d’esprit de Pascal ? Ce « courage », cette dureté qu’il lui fallut pour « s’avouer tant de choses et si tard », pour reconnaître en lui tant de passions, de perspectives médiocres, de petitesses, n’est-ce pas cette extirpation de « l’amour-propre », par où doit commencer en nous la guérison pascalienne des illusions volontaires[1] ?
- ↑ Pensées, II, 8.