Page:Andry - Remarques de médecine sur différents sujets.djvu/293

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Si la force du cœur, dont les mouvemens sont secondez par ceux mesme des vaisseaux dans lesquels le sang est poussé, peut estre comparée à celle d’une Machine qui pousse l’eau dans des tuyaux qui n’ont point d’action ? 96 & suiv.
Que les vaisseaux dans lesquels le cœur pousse le sang, sont autant de cœurs subrogez, qui poussent eux-mesme le sang après l’avoir receu, 98, 99 & suiv.
Si le cœur a besoin d’une extrême force pour pousser le sang ? ibid.
Si en soûtenant que le cœur surmonte une resistance énorme pour pousser le sang, ce n’est pas se contredire de soûtenir que le sang qui sort du cœur doit retourner au cœur par la seule force du contrepoids, sans qu’il soit besoin d’autres secours ? 109.
Que le cœur a plus de force qu’il ne lui en faut pour faire circuler le sang pendant la santé, 109.
Crudité d’humeurs. Aphorismes d’Hippocrate qui semblent prouver que, selon ce grand homme, il faut purger dans l’orgasme, nonobstant la crudité des humeurs, 139.


D.

Diaphoretiques. Leur usage dans les fiévres, 206.
Diuretiques. S’ils agissent lentement ou promptement ? 121. 122.


E.

Eau. Son usage dans les maladies, 241.
Si on remplit d’eau un estomach, ou des intestins bien liez par les deux bouts, l’eau