Page:Andry - Remarques de médecine sur différents sujets.djvu/86

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estre préferée au-dessus de sa purgation[1] : Que la saignée a plus de facilité que le bas-ventre pour suppléer au défaut de la transpiration[2] : Que la saignée est capable pour rendre aux liqueurs leur fluidité[3] : Qu’on ne peut faire suer ceux en qui le foye ou la rate est schirreuse[4] : Que la bile devenuë lixiviale, rend le sang colliquatif[5] : Que les glaires sont les suites d’un sel fondant & colliquatif, qui tient tout en fonte & en fusion[6] : Que la cause la plus ordinaire de la pluspart des maux opiniâtres, est la présence d’une bile caustique, qui tient le sang en colliquation[7] : Que le suc nourricier se tient quelquefois dans une colliquation continuelle[8] : Que les viscères regorgeans de sucs superflus inonderont leurs voisinages par des fontes & des colliquations de liqueurs bisarres[9] : Et quantité d’autres exemples semblables, sans parler d’un grand

  1. Art. 4. p. 64.
  2. Art. 4. p. 64.
  3. Art. 3. p. 42.
  4. Art. 4. p. 54.
  5. These sur la boisson, art. 5. p. 75.
  6. These sur la boisson, art. 3. p. 47.
  7. Art. 3. p. 46.
  8. Ibid.
  9. Art. 4. p. 69.