nombre d’expressions figurées qui brillent dans les deux Theses, comme, par exemple, que quelques-uns pourroient s’imaginer que les sudorifiques seroient les substituts de la transpiration[1] : Mais qu’il n’y a pas d’apparence que des drogues qui participent pour la plupart du souphre & du mercure, soient bien propres à devenir les substituts de la transpiration arrestée[2] : Que quelquefois une maladie paroist sereuse, parce que la bile en furie éclabousse, pour ainsi dire, les parties de serositez[3] : Que le sang dans la fiévre est un cahos de sucs mal assortis & de liqueurs incongruës[4] : Que pour expliquer les filtrations, il ne faut avoir recours ni aux levains, ni à tant de vaines imaginations de configurations differentes, & de pores diversifiez, toutes fictions également dignes d’un anatheme éternel[5] : Que quelquefois une
