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que modernes : L’on y mêle des traits de critique, mais c’est moins pour donner atteinte à la capacité de quelques Sçavans, que pour répandre plus de lumiere sur les sujets que l’on traite. Si je sçavois d’autres termes pour mieux exprimer ce que je pense sur ce Livre, je m’en servirois. Tout ce que je dirai, c’est que je n’en puis porter d’autre jugement, sinon qu’il sera utile & agréable à tous les Lecteurs, de quelque état & de quelque condition qu’ils soient. Fait à Paris ce 23. Septembre 1712.

Gaillard.




APPROBATION
de la Faculté de Medecine de Paris.



Sur le rapport & les Approbations de Messieurs du Fresne, Gaillard & Fermelhuis, la Faculté de Medecine permet que le Livre qui a pour titre Traité des Alimens de Carême, soit imprimé au plûtôt. Elle assure en même tems le public, que la lecture de cet Ouvrage occupera les plus sçavans avec plaisir, & que les autres y trouveront les instructions necessaires, soit pour rasseurer les esprits foibles, soit pour lever les scrupules d’une morale mal entenduë. Fait à Paris ce Samedi 24. de Septembre 1714. Douté, Doïen.




APPROBATION
de Monsieur Baillard, Docteur de Sorbonne.



J’ai lû ce Traité des Alimens de Carême ; l’Auteur y soutient par tout la réputation