Page:Andry de Boisregard - De la Génération des vers, 1700.djvu/542

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doit faire de ce remede, qui est excellent contre les vers ; mais c’est que je ne puis souffrir qu’on fasse des secrets de choses communes. Je vois bien, Monsieur, que la crainte où vous êtes que nôtre malade ne retombe, vous fait ramasser toutes les receptes, dont vous entendez parler ; mais si l’enfant passe encore huit jours sans accés, comme je me le promets bien, assurez-vous qu’il n’y a rien à craindre. Au reste je vous félicite d’avoir sçû vous débarasser de tous les Charlatans, car c’est une vermine encore plus difficile à chasser que celle contre quoy la Medecine ordonne des remedes. Je suis,

MONSIEUR,


Vôtre tres-humble & tres-
obéïssant Serviteur,
Andry.