Page:Andry de Boisregard - De la Génération des vers, 1741, tome I.djvu/32

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on pourra s’éclaircir de la vérité quand on souhaitera.

Les derniers verront dans cet Ouvrage, que le Ver dont s’agit, n’est point nouveau, & qu’il a été connu aux anciens Médecins, à Hippocrate entre autres, & à Aristote, & que dans les Livres des Modernes on en trouve plusieurs exemples. J’ajouterai que M. Fagon, Premier Médecin de Louis XIV. m’a dit avoir vu plusieurs Vers de cette nature en diverses rencontres. Ils y apprendront de plus, que c’est un Ver commun en Hollande, où il s’en trouve de beaucoup plus longs que celui-ci, comme me l’a mandé d’Amsterdam M. Hartsoeker, par une Lettre que je rapporte dans ce Livre

Au reste, ce n’est pas la première fois qu’on a traité de mons-