que je croi qu’il sera aussi-bien reçu du Public, qu’il m’a donné de satisfaction en le lisant. Ce 2. Décembre 1699.
Es gens aisés mangent & boivent si épouventablement, & les miserables vivent si pauvrement, qu’il est impossible que dans les uns & dans les autres, il ne s’engendre une très-grande quantité de toutes sortes de Vers. Le Traité que Monsieur Andry mon Confrere, donne au Public sur cette matiere, est si plein d’érudition, il est écrit si poliment, il y a dedans tant de recherches, & il est rempli de si bons remedes, qu’après l’avoir lu attentivement, je souhaite qu’il paroisse au plûtôt dans le Public. À Paris, ce 4. Décembre 1699.
A maniere dont Monsieur Andry explique ici la Génération des Vers dans le corps humain : La différence des causes & des