Page:Anglemont - Westminster et le Château de Windsor, 1838.djvu/15

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Le front de votre rose blonde souveraine,
Son beau sceptre n’est pas en ses mains un fardeau !
Vers elle sont tournés les regards d’espérance
Des nobles fils d’Érin, d’injustices lassés !
Je la vois mettre un terme à leur longue souffrance !
Règnes d’Élisabeth et d’Anne, pâlissez !


Londres, 20 septembre 1838.







Paris. — Imprimerie de Pommeret et Guénot, rue Mignon, 2.