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DES PROBLÈMES DU PREMIER DEGRÉ.

relation qu’on pourrait, au surplus, écrire sous cette forme

,

et qui peut, comme l’équation (3), remplacer une quelconque des deux premières.

Or, en vertu des équations (1), (2), (3), (4), on voit ( art. 6 ) que les valeurs générales des inconnues deviennent

 ;

12. Réciproquement, si l’on a les deux relations

lesquelles, comme nous venons de le voir, emportent l’existence des équations (1), (2), (3), (4), et réduisent conséquemment à les valeurs des inconnues ; il arrivera que l’une quelconque des trois équations proposées sera la somme des produits des deux autres par certains multiplicateurs ; ainsi, par exemple, on pourra admettre que la troisième est la somme des produits de la première par et de la seconde par  ; si, en effet, l’on écrit l’équation

elle deviendra, en chassant les dénominateurs, transposant et réduisant,

équation qui, en vertu des relations (1) et (2), se réduit à .

13. Si l’on fait , , les équations de condition prendront cette forme symétrique :

et alors , pourront ; tous trois, être supposés entiers ; on pourra faire, par exemple,