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SUR LES POLYÈDRES.

part en part, et qu’enfin plusieurs des faces soient bornées par des polygones intérieurs au nombre de pour chacune d’elles respectivement ; on aura

et conséquemment la condition nécessaire et suffisante pour que le polyèdre ne fasse pas exception au théorème d’Euler, sera

GÉOMÉTRIE.

Démonstration de deux théorèmes de polyédrométrie ;
Par M. Français, professeur de mathématiques à l’école
impériale de l’artillerie et du génie.
≈≈≈≈≈≈≈≈≈

En désignant par le nombre des sommets ou angles solides d’un polyèdre quelconque ; par le nombre de ses arêtes ; par le nombre de ses faces ; par la somme des angles plans de ces mêmes faces ; et enfin par un angle droit ; on a ces deux théorèmes d’Euler

[1]
  1. Voyez le précédent mémoire.
    J. D. G.