la privation du sens de la vue, ils sont susceptibles de goûter ; ainsi que des désirs et de la tristesse que leur état, comparé à celui du reste des hommes, peut leur faire éprouver. Je pourrais enfin comparer, sous divers rapports, l’aveugle de naissance à celui qui perd la vue dans un âge où il a déjà acquis et où il peut conserver dans sa mémoire les diverses notions dont cet organe est la source ; mais je crains d’avoir déjà trop abusé de l’indulgence de vos lecteurs ; et je crois plus convenable, à moins d’une nouvelle provocation, soit de leur part, soit de la vôtre, de terminer ici, en vous priant d’agréer, etc.
QUESTIONS RÉSOLUES.
à la page 196 de ce volume ;
Ferriot et Lambert, professeurs au lycée de Besançon,
Vecten, professeur au lycée de Nismes,
Labrousse, professeur à Montélimart,
Rochat, professeur de navigation à St-Brieux,
Penjon, professeur au lycée d’Angers,
Gobert, élève de M. Penjon,
C. Beaucourt, élève au lycée de Nismes,
J. F. Français, professeur à l’école de l’artillerie et du génie,
Etc., etc., etc.
THÉORÈME I. Le plan qui divise l’un des angles dièdres d’un tétraèdre en deux parties égales, partage l’arête opposée en deux