égalant les valeurs de deux à deux, on obtiendra les équations
dont deux comportent la troisième. Elles expriment que l’équation (1) appartient à une surface de révolution. L’équation (22) devient, en vertu des équations (26)
Il nous resterait à examiner ce qui arrive dans ces résultats, lorsque un, deux ou trois rectangles des coordonnées manquent dans l’équation (1) ; mais nous renvoyons, pour cet objet, à notre mémoire qui traite de ces mêmes équations (page 144 ; du 2.e volume des Annales de Mathématiques.)
On peut déduire des théories précédentes d’autres conséquences très-importantes ; ainsi, par exemple, on démontre très-facilement, au moyen de l’équation (22), trois théorèmes principaux sur les surfaces du second ordre (voyez, pour cet objet, un mémoire de M. Bérard, page 105 du 3.e volume des Annales de Mathématiques). Nous discuterons seulement le cas particulier où les surfaces du second ordre dégénèrent en deux plans parallèles, et également distans de l’origine des coordonnées. L’équation
prend alors la forme
et l’équation en devient