géomètre que, si, en s’exprimant comme il le fait à la page 369 du 3.e volume, on représente par une des couples de non comprises dans celles de l’équation
ce couple ne satisfait pas à l’équation
dont celle (2) est le renversement ; il s’ensuivra que, pour dans l’équation (1), on devra avoir
renversant cette dernière équation, il est clair, d’après les équations (1) et (2), qu’il viendra
mais, par hypothèse,
donc et, par conséquent, est aussi une couple de , dans l’équation (1) ; donc toutes les couples qui satisfont à l’équation (2) satisfont aussi à l’équation (1). Cela démontré, je pense que M. Bret admettra cette conséquence, et peut-être alors cessera-t-il de croire qu’il soit très-difficile de ramener la démonstration du principe qui sert de fondement à la théorie des équations, à des notions purement élémentaires.
Agréez, etc.