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CALCUL
de plus, ces termes, dus aux puissances des quantités polynômiales, sont toujours aisés à reconnaître, en ce que les deux dernières lettres se suivent, dans l’ordre des indices, et réciproquement ; car, on a évidemment ( étant un coefficient numérique convenable)
Il ne reste donc que de savoir déduire d’un semblable terme dans son correspondant dans Soit donc ce terme dans ; on a
or, le terme correspondant dans sera
ce qui revient à différencier l’avant-dernière lettre, ou sa puissance, à écrire pour et à diviser le résultat par l’exposant de la puissance de la dernière lettre, qui se trouve augmenté d’une unité.
On ne fait donc autre chose qu’exécuter la seconde partie de la règle du n.o 8. Cette même partie de la règle, appliquée à la fonction dans le terme
de fournit le terme dont nous avons parlé au commencement de ce n.o .
La règle du n.o 8 est donc parfaitement exacte, et fournit le moyen le plus simple pour déduire le développement d’un terme de celui du terme qui le précède immédiatement.
34. Proposons-nous maintenant de développer immédiatement, et indépendamment des termes qui précèdent, un terme quelconque de l’équation (6) ou (7).
En faisant
(56)
cette équation devient, d’après le n.o 32, équation (53)
(57)
Mais, étant lui-même un polynôme, ses puissances sont fonctions de polynômes qui, d’après le n.o 5, deviennent