qui se trouveront répondre à quelqu’un des cas X, I, C, de la dernière colonne, sans répondre au cas H de cette colonne.
4.o Enfin, les systèmes de relations de M avec G et P qui pourront donner lieu à la conclusion n seront ceux-là seulement qui se trouveront répondre à quelqu’un des cas H, X, de la dernière colonne, sans répondre à aucun des cas I, C de cette même colonne.
55. À l’aide de ces observations, rien ne sera plus aisé que de conclure de notre tableau (49) le tableau suivant :
Relat. de M avec G et P. |
Conclusions. |
Ce tableau montre que, par exemple, une conclusion N peut être admise, lorsque le moyen terme, étranger au grand, contient le petit ; car, vis-à-vis de HC on rencontre N ; mais il montre en même temps qu’on ne saurait conclure a dans le même cas ; puisque la combinaison HC ne se trouve point vis-à-vis de cette lettre.
56. Cela posé, et eu égard aux tableaux (26),
1.o En ordonnant ainsi les combinaisons qui répondent à A ;
on voit que, soit que les deux termes de la majeure soient dans le cas I ou dans le cas C, les seuls où ils puissent se trouver pour cette conclusion, il faut toujours que ceux de la mineure se trouvent dans l’un des cas I et C ; il faut donc que cette mineure soit A ; et, comme la majeure ne peut alors se trouver elle-même que dans l’un des deux cas I et C, il faut aussi que cette majeure soit A ce qui donne le seul système de prémisses
2.o En ordonnant ainsi les combinaisons qui répondent à N