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QUESTIONS PROPOSÉES.


et en répétant les mêmes opérations, on trouvera de même une 2.me équation du premier degré, entre . En prenant donc successivement autant de cas particuliers qu’il y a d’unités dans ou suivant que est pair ou impair, on aura autant d’équations du premier degré entre qu’il y a de ces inconnues ; et leur détermination ne souffrira plus aucune difficulté[1].

  1. Pourvu cependant que ces équations ne rentrent point, en tout ou en partie, les unes dans les autres, comme il pourrait fort bien arriver, si les cas particuliers devant servir à déterminer les relations entre les coefficiens n’étaient pas choisis d’une manière convenable.

    Pour en donner un exemple, supposons la formule générale deviendra

    de sorte que trois cas particuliers seront nécessaires pour détermmer les coefficient

    Or, le motif de la simplicité des calculs semble inviter à prendre, pour ces cas particuliers, les équations

    En supposaut que et sont les limites de l’intégrale demandée, on tirera de là respectivement

    et par suite