et représente une parabole, elle se réduit à cette forme encore plus simple
c’est évidemment l’équation de la directrice même de cette parabole.
4.o Si, enfin, sans rien statuer sur la valeur de on suppose, comme dans le cas qui précède, que la courbe donnée soit une parabole, et que par conséquent soit égal à zéro, l’équation générale (4) deviendra, en l’ordonnant,
équation d’une hyperbole dont le grand axe se confond, pour sa direction, avec celui de la parabole donnée, et qui de plus a l’un de ses deux foyers en commun avec la parabole, comme cela a été énoncé à la page 13 du présent volume.
Pour prouver cette assertion, proposons-nous de rechercher les foyers de l’hyperbole dont il s’agit.
On sait qu’un des caractères du foyer d’une section conique, quand elle est rapportée à son grand axe comme axe des abscisses, est que sa distance à un point quelconque de la courbe est une fonction rationnelle et entière de l’abscisse correspondante. Nommant donc la distance inconnue de ce foyer à l’origine, on aura, en faisant attention à l’équation ci-dessus de l’hyperbole ; on aura, dis-je, pour la distance de ce point à un point quelconque () de cette même courbe,
Cette expression ne peut être rationnelle, à moins que la quan-