diculaires seront les largeurs de deux colonnes dont la direction sera contraire à celle du mouvement de la roue ; lorsque ces colonnes seront parallèles à la route du vent ; mais comme alors elles ne rencontreraient aucun obstacle, il s’ensuit que l’on doit préférer celles dont la largeur est puisque la partie du vent qui tend à faire tourner la roue en sens contraire, se trouve diminuée d’autant.
Il suit de cet exposé que la partie extérieure d’une aile doit être terminée au prolongement de la partie intérieure de l’aile qui la suit consécutivement.
Déterminons présentement la direction de la partie intérieure de l’aile. Pour cela, prolongeons les lignes et jusqu’à ce qu’elles se rencontrent en et remarquons que l’on a d’où il suit que les quatre points sont placés sur une même circonférence ; et que, par conséquent, les deux cordes se coupent en parties réciproquement proportionnelles au point l’on a donc d’où l’on tire
Mais, en faisant
étant l’angle qui sépare deux ailes consécutives ; et faisant de plus
on aura