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ET PARALLÉLIPIPÈDE.
mais, en mettant dans les seconds membres de ces équations pour
leurs valeurs (4), ils deviennent respectivement
donc enfin, en substituant dans la valeur de il viendra
D’où il serait facile de conclure le volume d’un tétraèdre, en fonction de ses six arêtes[1].
- ↑ Au moment où je termine ceci, je m’aperçois qu’à la page 253 du VI.e volume de ce recueil, M. Bérard est parvenu, par la même voie que moi,
à l’équation de relation entre les six angles que forment deux à deux quatre
droites dans l’espace ; mais, cet estimable géomètre n’a pas songé à déduire de
ces formules la diagonale du parallélipipède, ce qui n’était pourtant pas le
point le plus difficile.