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DES ÉQUATIONS.

et ainsi de suite.

L’exposition, des faits analitiques qui ont amené le résultat qu’on vient de faire connaître ne parait guère susceptible, à raison des développemens qu’elle exigerait, de trouver place dans un recueil périodique ; mais l’auteur s’engage à communiquer ces faits aux géomètres qu’ils pourraient particulièrement intéresser[1].

  1. Dans l’ignorance où nous sommes des considérations qui ont pu conduire l’auteur à ce singulier résultat, nous aurions désiré d’offrir du moins à nos lecteurs une vérification simple de ses formules ; mais, même pour le cas particulier du troisième degré, les calculs sont trop longs et offrent trop peu d’intérêts pour mériter de trouver place ici. Nous nous bornerons donc à remarquer que depuis long-temps nous avons observé que, quels que soient l’une des racines de l’équation

    peut être indistinctement exprimée par l’une ou l’autre des deux formules prolongées à l’infini


    Ces résultats sont, comme l’on voit, du genre de ceux qu’a présenté M. Shmidten dans un précédent mémoire.

    J. D. G.