les signes supérieurs ou les signes inférieurs devant être pris, suivant que ces facteurs seront fautifs en moins ou en plus. En développant, il viendra
Le véritable produit devant être compris entre celui qui résulte de l’emploi des signes supérieurs et celui qui résulte de l’emploi des signes inférieurs, la différence entre l’un et l’autre donnera la limite de l’erreur dont le produit apparent peut être affecté. Cette différence est rigoureusement
mais il est clair que ce qui suit la somme des produits deux à deux est trop petit vis-à-vis de cette somme, pour qu’il importe d’y avoir égard ; de sorte qu’on peut prendre simplement pour limite de l’erreur
or, ce nombre est plus grand qu’une demi-dixaine de millions, d’où il suit que dans le produit apparent on n’est pas même sûr du second chiffre à gauche, qui pourrait se trouver fautif de plus de la moitié de l’une des unités qu’il exprime, ce dont beaucoup de gens sans doute ne se douteraient guère.
On voit par là que, si les trois facteurs avaient été
approchés seulement à moins d’une demi-unité décimale du dernier ordre pris, auquel cas le produit apparent aurait été