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D’ALGÈBRE.
qui, en mettant dans le second membre et pour et revient au théorème (I). On prouvera d’une manière tout-à-fait semblable que
(II)
Si, dans l’équation (I), on suppose que se changent respectivement en elle deviendra
mais, si l’on a on aura, par ce qui précède,
donc, en substituant,
On pourrait présentement supposer que et se changent respectivement en
et et continuer ainsi indéfiniment, en supposant toujours et ainsi de suite ; d’où l’on voit qu’en posant, pour abréger,