Page:Annales de mathématiques pures et appliquées, 1825-1826, Tome 16.djvu/127

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Cela posé, on sait, comme nous l’avons déjà observé (pag. 41), que étant un angle quelconque et un nombre entier positif quelconque, on a

pourvu qu’on arrête le développement dès qu’on ne rencontrera plus d’arcs positifs, et que, lorsque sera pair, on ne prenne que la moitié du terme qui contiendra l’arc nul.

Mettant successivement pour dans cette formule, les termes de la progression, progression, on aura



 

ce qui donnera, en ajoutant,