Page:Annales de mathématiques pures et appliquées, 1825-1826, Tome 16.djvu/155

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et par conséquent

Or, en intégrant par parties, on trouve

ce qui donne, en subtituant,

(D)

qui n’est plus que de l’ordre

3.o Quand ne contient ni ni on peut abaisser l’équation (A), qu’on appelle quelquefois l’équation indéfinie, parce que son intégrale donne l’équation du maximum ou du minimum, avec des constantes arbitraires. On a alors, à la fois,