Page:Annales de mathématiques pures et appliquées, 1825-1826, Tome 16.djvu/355

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vers lesquelles tendent les deux membres de cette équation, à mesure que tend vers zéro.

On aura, en conséquence,

mais, en vertu de la formule (11)

donc

donc aussi car ce sont là les limites respectives vers lesquelles tendent les deux membres de cette équation à mesure que tend vers zéro.

Comme rien n’empêche de poursuivre ce raisonnement aussi loin qu’on voudra, il s’ensuit qu’on a

et, en général,

valeurs qui, substituées dans la formule (12), donneront