Page:Annales de mathématiques pures et appliquées, 1825-1826, Tome 16.djvu/377

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Or, le premier membre de cette équation est le rapport entre la distance de l’un quelconque des points de la courbe à l’un des foyers et la distance du même point à une perpendiculaire à l’axe des menée à la distance de l’origine ; donc, les distances des divers points de l’ellipse à un point fixe et à une droite fixe sont dans un rapport constant. On voit que le point fixe dont il s’agit ici est l’un des foyers. Quant à la droite fixe, on s’assurera aisément qu’elle en est la polaire.

Si, dans l’équation (7), ainsi que dans les diverses transformées que nous en avons successivement déduites, on change en on obtiendra les transformées analogues relatives à l’hyperbole donnée par l’équation (8) ; et l’on sera conduit aux deux équations

mais ici, où est toujours plus grand que il faudra, dans l’extraction des racines, écrire

d’où, en ajoutant et réduisant