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et une transformation analogue, appliquée à l’équation (13) conduirait exactement au même résultat.
Quant à la parabole, on a pour cette courbe
d’où
et
au moyen de quoi l’équation (14) devient
et donne
Ainsi l’équation (15) qu’on appelle l’équation polaire des sections coniques, convient généralement à toutes ces courbes qui sont ellipses, paraboles ou hyperboles, suivant qu’on a ou
En ajoutant à ce qu’on vient de lire, les dix pages de notre V.e volume rappelées ci-dessus, on obtiendrait un traité de sections coniques qui, bien que fort court, serait néanmoins presque complet.