Page:Annales de mathématiques pures et appliquées, 1826-1827, Tome 17.djvu/178

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on devrait avoir les six relations

(a)

dans lesquelles le nombre peut être quelconque.

Cela posé, par un point > pris à volonté sur le plan des trois courbes, et dont nous supposons les coordonnées et soit menée une droite parallèle à l’axe des , c’est-à-dire, parallèle à une droite fixe arbitraire, puisque les axes des coordonnées sont quelconques. Ensuite, sans changer la direction des axes, transportons-en l’origine en  ; il nous suffira pour cela de changer respectivement et en et dans les équations qui deviendront ainsi

Si l’on fait, dans la première on en tirera les valeurs des distances du point aux deux intersections de la courbe avec la transversale menée par ce point Ces distances pourront être réelles ou imaginaires, suivant que la transversale coupera ou ne coupera pas la courbe  ; mais, dans tous les cas, leur produit, aussi bien que leur somme algébrique, auront toujours des valeurs réelles. En effet, en désignant ce produit par et cette somme