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Page:Annales de mathématiques pures et appliquées, 1826-1827, Tome 17.djvu/260

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truire quatre autres ayant entre elles les mêmes points communs et telles en outre que chacune d’elles ait aussi les mêmes points communs avec trois des quatre premiers.

truire quatre autres ayant entre elles les mêmes plans tangens communs, et telles en outre que chacune d’elles ait aussi les mêmes plans tangens communs avec trois des quatre premières.

Problèmes.

I. Inscrire à une ligne donnée du second ordre un polygone rectiligne fermé, d’un nombre de côtés donné, tel que certains côtés de rangs désignés passent par des points donnés, et que les côtés restans de rangs également désignés aient des longueurs données ?

I. Circonscrire à une ligne donnée du second ordre un polygone rectiligne fermé, d’un nombre de côtés donnés, tel que certains sommets de rangs désignés soient sur des droites données, et que les sommets restans de rangs également désignés appartiennent à des angles de grandeur donnée ?

II. Inscrire à une surface donnée du second ordre un polygone rectiligne gauche, d’un nombre de côtés donné, tels que certains côtés de rangs désignés passent par des points donnés, et que les côtés restans de rangs également désignés aient des longueurs données, ?

II. Circonscrire a urre surface donnée du second ordre un angle polyèdre gauche fermée[1], d’un nombre de faces déterminé, dont certaines arêtes de rangs désignés soient sur des plans donnés, et dont les autres de rangs également désignés appartiennent à des angles dièdres d’une grandeur donnée ?

  1. À défaut d’autres, nous employons ici l’expression angle polyèdre gauche, pour exprimer l’espace indéfini compris entre une suite de plans qui se succèdent consécutivement, sans passer par un même point. Une telle surface a, comme les surfaces courbes développables, deux, nappes et une arête de rebroussement, qui est un polygone gauche.