Page:Annales de mathématiques pures et appliquées, 1826-1827, Tome 17.djvu/48

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si, par ce sommet, on mène une sécante arbitraire à ces courbes, puis des tangentes par les points où cette sécante les coupe ; ces deux tangentes iront concourir sur lu direction du côté opposé du triangle.

ce côté, on prend arbitrairement un point et que de ce point on mène des tangentes aux deux courbes ; leurs points de contact seront en ligne droite avec le sommet opposé du triangle.


On pourra, d’après cela, résoudre le problème suivant :

On poura, d’après cela, résoudre le problème suivant :

PROBLÈME II. Une conique étant donnée, et trois points étant donnés sur son périmètre ; déterminer, en n’employant que la règle seulement, tant de points qu’on voudra d’une autre conique qui touche la première en l’un des points donnés, la coupe aux deux autres et touche en outre une droite quelconque, donnée sur son plan.

PROBLÈME II. Une conique étant donnée, et trois tangentes à cette courbe étant aussi données ; déterminer, en n’employant que la règle seulement, tant de tangentes qu’on voudra à une autre conique qui touche la première à son point de contact avec l’une des tangentes données, touche les deux autres tangentes données, et passe en outre par un point quelconque, donné sur le plan de la courbe.

Solution. Soient toujours les trois points donnés, sur le périmètre de la première courbe ; C étant encore celui d’entre eux où elle doit être touchée par la seconde.

Solution. Soient toujours les trois tangentes données à la première courbe ; C étant encore celle dont le point de contact doit lui être commun avec la seconde.


Soit F le point où AB est coupée par la droite donnée. Par ce point F, soit menée une tangente à la courbe donnée, et soit T son point de contact avec

Soit F la droite qui joint le point AB au point donné. Par un des points où cette droite F coupe la courbe donnée, soit menée une tangente T à cette courbe.