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Page:Annales de mathématiques pures et appliquées, 1827-1828, Tome 18.djvu/339

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Quant aux trois couples d’angles dièdres respectivement opposés elles seront données par les équations

(5)

et les arêtes qui leur appartiennent le seront par celles-ci :

(6)

Si sont six constantes arbitraires qu’on peut d’ailleurs supposer liées, en tout ou en partie, par une relation quelconque, non homogène, l’équation du second degré

(7)

sera visiblement l’équation commune à toutes les surfaces du second ordre circonscrites au tétraèdre (1) ; car son premier membre est la seule fonction du second degré en qui puisse s’évanouir en y supposant nulles, trois quelconques des quantités

Si, avec cette équation, on combine tour à tour les suivantes :