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Page:Annales de mathématiques pures et appliquées, 1827-1828, Tome 18.djvu/88

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(3)

l’équation (1) donne d’ailleurs facilement


d’où, en vertu des valeurs (3) et en divisant par ,

ou encore

ce qui montre d’abord que le problème n’est possible qu’autant qu’aucune des trois droites données n’est plus grande que la somme des autres ; c’est-à-dire, qu’autant qu’on peut former un triangle avec ces trois droites. Si l’on désigne par l’aire de ce triangle et par le rayon du cercle circonscrit, on aura, comme l’on sait,

donc

donc (3)