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Page:Annales de mathématiques pures et appliquées, 1828-1829, Tome 19.djvu/321

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De sorte qu’à Montpellier, dans l’année 1828, le sommet de la colonne de mercure a parcouru, dans le tube du thermomètre, un espace de

§. IV. INCLINAISON MAGNÉTIQUE.

Le 8 oclobre 1828, j’ai observé l’inclinaison de l’aiguille aimantée, au moyen d’un appareil construit par les frères Jecker, à Paris ; en notant les inclinaisons, dans tous les azimuths, de dix en dix degrés, lisant l’arc aux deux extrémités de l’aiguille, retournant ensuite cette aiguille, pour recommencer les mêmes observations relativement à son autre face, et employant enfin la formule connue j’ai obtenu ainsi dix-huit moyennes, desquelles j’ai conclu que l’inclinaison de l’aiguille, pour ce jour-là à Montpellier, était comprise entre et

J’espère avoir, pour 1829, un instrument propre à mesurer la déclinaison.

QUESTIONS PROPOSÉES.

Théorème de géométrie.


La perpendiculaire abaissée de l’un des sommets d’un parallélépipède quelconque, sur un plan quelconque conduit par le sommet opposé, est égale à la somme des perpendiculaires abaissées sur le même plan des trois sommets qui environnent ce dernier ; elle est la moitié seulement de la somme des perpendiculaires abaissées sur ce plan des trois sommets restans, respectivement opposés à ces trois-là.